pour définir l’agrivoltaïsme.

 

Si le document, qui présente le guide de classification dans le détail, remplit 67 pages, un tableau qui le présente brièvement est publié dans le résumé exécutif :

 

Tableau présentant les gradients de services indirects rendus à l’agriculture par les installations photovoltaïques. Les projets ne répondant pas aux critères des niveaux 1, 2 et 3 ne constituent pas des formes d’agrivoltaïsme. © Ademe
Tableau présentant les gradients de services indirects rendus à l’agriculture par les installations photovoltaïques. Les projets ne répondant pas aux critères des niveaux 1, 2 et 3 ne constituent pas des formes d’agrivoltaïsme. © Ademe

 

Seuls les projets qui remplissent des critères de couplages d’intérêt potentiel pour l’agriculture peuvent être qualifiés d’agrivoltaïques. Couvrir une parcelle de panneaux solaires en y plaçant quelques moutons pour justifier d’une activité agricole ne pourra par exemple plus prétendre à ce terme.

 

> À lire aussi : Quinze recommandations pour l’agrivoltaïsme (15/04/2022)

Support de travail

Cet important travail de caractérisation offre une base documentaire fiable qui pourra servir à de nombreux acteurs du secteur, depuis les agriculteurs jusqu’aux développeurs photovoltaïques, en passant par les étudiants et formateurs de l’enseignement agricole.

 

Ces documents vont aussi et surtout pouvoir servir de support pour le travail législatif qui devrait s’enclencher prochainement pour renforcer et encadrer le développement de la filière.

 

> À lire aussi : Des préconisations pour l’agrivoltaïsme (23/02/2022)