. En moyenne, à cette date, pour la période de 1989 à 2018, la part de la pousse n’atteint que 23 % de la pousse annuelle.

 

 

Cette situation est constatée sur une très large moitié nord de la France. « La Région Grand Est est celle où l’écart est le plus “remarquable”, observe le ministère. Les Régions Pays de la Loire et Centre-Val de Loire ont atteint respectivement 47 % et 43 % de la pousse annuelle de référence.

Situation contrastée au sud

La situation est plus hétérogène au sud. Même si la situation est globalement excédentaire en Occitanie et normale dans la Provence-Alpes-Côte d’Azur, « certaines régions fourragères du pourtour méditerranéen et du nord de l’Occitanie sont très déficitaires », souligne la note de conjoncture.