Le marché de Chicago, en repli mercredi, était dominé par des ajustements de fin d’année de la part des fonds.
Sur la scène internationale, l’Égypte fait l’actualité, avec le probable dernier appel d’offres de l’année en blé pour un embarquement début février. Les origines « mer Noire » devraient être une nouvelle fois privilégiées, note Agritel dans une note.
Agritel évoque aussi un déficit hydrique hivernal dans une grande partie de l’hémisphère Nord, qui sera à surveiller au moment des semis, avec des réserves hydriques probablement faibles. Le cabinet s’inquiète également de la propagation de la grippe aviaire qui pourrait impacter la demande en céréales en cas de poursuite de son extension.
Vers 18h10, la tonne de blé gagnait 75 centimes sur l’échéance de mars, à 167,25 €/t, et 1 € sur celle de mai, à 170,25 €/t, dans un volume de transactions restreint de 4 260 lots.
Le maïs, pour sa part, perdait 25 centimes sur l’échéance de janvier à 167,50 €/t et était stable sur celle de mars à 169,25 €/t, dans un volume d’échanges confidentiel de 560 lots.