« Le récent repli des cours semble conduire à un regain d’intérêt de la part des acheteurs en cette fin d’année. Après l’Égypte en ce début de semaine, alors que le gouvernement communique désormais sur un stock suffisant pour quatre mois, de nombreux pays importateurs se repositionnent aux achats », indique une note du cabinet Agritel.

 

L’Algérie a conclu jeudi un achat de 120 00 tonnes du blé dur, provenant essentiellement du Canada mais aussi des États-Unis. L’Arabie Saoudite s’affiche à l’achat pour un volume de 960 000 tonnes d’orges fourragères et la Tunisie a lancé jeudi un appel d’offres pour du blé tendre et des orges fourragères, ajoute Agritel.

 

Vers 17h20 sur Euronext, la tonne de blé prenait 50 centimes sur l’échéance de décembre, à 160,75 €/t et 75 centimes sur celle de mars, à 16,75 €/t, dans un volume d’échanges de près de 22 100 lots.

 

À la même heure, la tonne de maïs cotait à 164,25 €/t sur l’échéance de janvier en hausse de 0,25 € et à 165 €/t sur celle de mars restant stable, dans un volume d’échanges d’à peine plus de 1 200 lots.