Sur la scène internationale, particulièrement à Chicago, les cours restent au plus bas depuis 10 ans. Les marchés continuent d’intégrer des récoltes très abondantes aussi bien en Amérique du Nord que dans la région de la mer Noire, avec des stocks conséquents.

 

L’Égypte, premier importateur mondial de blé qui donne le la sur le marché, profite de la faiblesse des cours. Mardi, le pays a acheté 60 000 t de blé russe à un prix très proche de son précédent appel d’offres la semaine dernière, soit environ 10 €/t en dessous du prix du blé français.

 

Sur Euronext vers 17 h 50, la tonne de blé était stable sur l’échéance de septembre à 168,50 €, et gagnait 1 € sur celle de décembre à 170,50 €.

 

Le maïs perdait 2,25 €/t sur l’échéance d’août à 167,50 €/t et gagnait 50 centimes sur celle de novembre à 165,50 €/t.