Accolé au logo européen, il permettrait de démarquer et de valoriser les «plus» des pratiques françaises.

Les producteurs pourront choisir de s'engager dans cette démarche. Le nouveau référentiel, restant encore à définir, sera plus exigeant que les règles européennes, notamment sur la prévention des contaminations par les OGM.

Une association indépendante de la Fnab va se constituer à la fin de janvier pour décrire les règles du jeu du nouvel identifiant.

Les contrôles supplémentaires pourraient être menés en même temps que les officiels, pour «un surcoût raisonnable», espère la Fnab.