En veaux d’engraissement et d’élevage, l’activité commerciale est assez régulière. Les tarifs se maintiennent dans les bons veaux prim’holsteins, normands, abondances ou montbéliards. Les sujets lourds transitent toujours vers le marché espagnol tandis que les plus légers restent fortement pénalisés. Les échanges sont plutôt fluides pour les viandés charolais, limousins, croisés allaitants ou de race mixte. Parmi les femelles et les croisés de moyenne conformation, les tarifs restent plus discutés.
En veaux de boucherie, la tendance est stable. Les opérateurs sont cependant inquiets pour les veaux labellisés ou élevés sous la mère, au vu des grèves qui se poursuivent pour les fêtes.