Agneaux : même si le Brexit n’a pas eu lieu, de nombreux opérateurs avaient anticipé, ce qui explique une pression moins forte des importations. S’ajoute à cela le recul saisonnier de l’offre, ce qui permet une activité commerciale plus régulière depuis quelques semaines. La consommation reste cependant mesurée, mais les besoins des abatteurs sont plus fermes. Résultat, les cours des bons agneaux se redressent. La marchandise de moyenne qualité ou les sujets trop lourds sont peu demandés, mais ils profitent tout de cette tendance à la hausse.
Brebis : le marché est à l’équilibre avec des tarifs stables.