« Consolidation sur les marchés hier après le net repli de ces trois derniers jours », estime Agritel dans sa note quotidienne. Ainsi, le jeudi 29 juin 2023, la tonne de blé a terminé la journée à 233,25 euros sur l’échéance de septembre (+2 euros par rapport à la clôture précédente) et à 240,50 euros sur celle de décembre (+1,25 euro). Celle de maïs a terminé à 235,25 euros (+1,25 euro) sur l’échéance d’août et à 232,25 euros (+,75 euro) sur celle de novembre.

Ce vendredi 30 juin 2023 vers 11 heures, la tonne de blé s’affichait à 234,75 euros (+1,50 euro) sur l’échéance de septembre, et à 242,25 euros (+1,75 euro) sur celle de décembre. La tonne de maïs s’affichait, elle, à 236,50 euros (+1,25 euro) sur l’échéance d’août, et à 234,25 euros (+2 euros) sur celle de novembre.

Rapport de l’USDA attendu

Un rapport du ministère américain de l’Agriculture (USDA) sur l’état des stocks trimestriels aux États-Unis et sur les surfaces est attendu ce soir. Agritel estime que dans cette optique, « les opérateurs vont se montrer très prudents ».

Selon les dernières estimations du Conseil international des céréales (CIC), publiées le 29 juin 2023, la production totale de céréales dans le monde en 2023-2024 serait de 2 292 millions de tonnes. Le CIC a réévalué à la baisse de 2 millions de tonnes son estimation de récolte totale par rapport au mois dernier. Cela résulte d’un « temps excessivement sec, notamment dans certaines parties des États-Unis », précise-t-il.