Pour son trentième anniversaire, les organisateurs du Sommet de l’élevage ont vu les choses en grand, avec un passage à quatre jours d’ouverture, contre trois auparavant. « Tous les voyants sont au vert », estime Jacques Chazalet, président du salon. Ce sont 1 516 exposants, dont 322 internationaux représentant 32 pays et 2 000 animaux d’élite. Le centre de conférences « au complet » proposera 69 présentations (lire encadré ci-dessous).

 

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Côté visitorat, « nous restons aussi optimistes et misons sur le fait qu’après deux ans sans salon, les gens ont besoin de se retrouver, de partager des moments de convivialité et de venir découvrir le renouveau du Sommet », assure Jacques Chazalet.

 

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Trois concours nationaux

Car plusieurs nouveautés sont au programme, à commencer par une halle d’exposition de 10 000 m2 flambant neuve. Le virage du numérique est également pris. Disponible depuis le 15 septembre, l’application mobile « MySommet » promet d’offrir une expérience personnalisée aux visiteurs.

 

Les concours et présentations animales feront partie des temps forts du salon. Près de 400 animaux se succéderont sur les rings. Trois concours nationaux sont prévus. En race bovine allaitante, il s’agira de l’aubrac, « un rendez-vous attendu par la centaine d’éleveurs exposants originaires de près de 10 départements ».

 

Concernant les bovins laitiers, le concours national simmental accueillera 112 vaches rigoureusement sélectionnées. Du côté des ovins, la rava sera à l’honneur. Pas moins de 14 sélectionneurs y participeront, en provenance du Puy-de-Dôme et de la Loire. Vincent Guyot