Une zone humide est protégée juridiquement en présence de terrains habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée, ou saumâtre de façon permanente ou temporaire, ou qu’il y soit constaté l’existence d’une végétation dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année.
(Loi du 24 juillet 2019).