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Avec une production mondiale de blé en repli et une consommation qui augmente de façon exponentielle en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient, les stocks mondiaux vont être orientés à la baisse. Par ailleurs, la croissance mondiale est repartie à la hausse (pour la première année depuis la crise de 2009, elle est supérieure à 3,5 %), particulièrement en Asie (+6,5 %).
Selon Renaud de Kerpoisson, président d’Offre et Demande Agricole (ODA), ces éléments contribuent à être optimistes sur le prix du blé dans les années à venir. À plus court terme, « les agriculteurs français ont tout intérêt à stocker et à vendre leur blé après d’autres pays comme la Roumanie et les pays baltes, qui ont déjà pris une grosse part de marché en première partie de campagne », précise-t-il.