« Les neuf centres se sont mobilisés pour définir des modalités de sécurisation des chantiers d’insémination artificielle (IA) pour les techniciens comme pour les éleveurs », explique Gilles Lagriffoul, de l’Institut de l’élevage. Ces modalités mettent en avant les gestes « barrières » face à l’épidémie de Covid-19 et s’adaptent aux disponibilités de matériels (masques, visières…).

Des protocoles partagés

Ces protocoles sont partagés avec l’ensemble des neuf centres d’IA français (une vingtaine de races ovines) fédérés au sein de l’Association nationale d’insémination ovine. « Comme d’habitude, les éleveurs qui le souhaitent peuvent contacter leur technicien pour organiser la lutte et préparer le chantier d’IA », conseille l’Institut de l’élevage.