, on apprend par exemple que « plus de 65 % des exploitations agricoles des adhérents de Triskalia sont engagées dans des démarches qualité et/ou environnement, que 649 élevages bovins ou lait ont fait l’objet de diagnostics d’émissions de gaz à effet de serre, que la part des solutions de biocontrôle pour la protection des cultures a été multipliée par 2,5 en 4 ans, que le groupe a diminué de 30 % ses impressions papier en 1 an… Mais aussi, Triskalia a accompagné 42 installations d’agriculteurs en élevage et 306 en cultures en 2018, consacré 3,02 % de sa masse salariale à la formation, etc. »

 

 

Cette déclaration repose sur une analyse des risques et opportunités pour l’entreprise. Elle oblige à une réflexion sur les enjeux à court, moyen et long terme, réflexion qui doit aboutir à la mise en place d’engagements, de plans d’actions et d’indicateurs. À Triskalia, les travaux ont associé des salariés des différents métiers, les administrateurs et les directeurs du groupe.

 

Ils ont permis de définir 7 axes RSE (responsabilité sociétale des entreprises), cohérents avec la stratégie, les métiers et les valeurs du groupe : « 1. Répondre aux attentes des consommateurs ; 2. Maîtriser nos impacts sur l’environnement ; 3. Accompagner nos adhérents ; 4. Mobiliser nos salariés ; 5. Participer au développement territorial et nous ouvrir aux citoyens ; 6. Transformer et moderniser nos outils et nos organisations, développer de nouveaux modes de travail ; 7. Accéder à de nouveaux marchés. »

 

La première DPEF du groupe expose « en toute transparence et pour chaque axe,

les enjeux, les politiques, les actions mises en œuvre et les résultats obtenus ou

attendus », indique un communiqué de Triskalia.