« Il faut faire attention à ne pas trop multiplier les initiatives, au risque de les rendre illisibles pour le consommateur. Il y a une vraie nécessité de se coordonner : cela pourrait prendre la forme d’un signe de qualité officiel ou d’un étiquetage généralisé, avec diverses classes de bien-être. La création du Centre national de référence sur le bien-être animal en 2017 va dans ce sens. Nous avons aussi un gros travail de communication à faire pour être à la hauteur de celle déployée par certaines associations. Les initiatives d’éleveurs sur les réseaux sociaux sont déjà une bonne chose. Elles ont bien fonctionné cette année et s’intègrent dans une démarche de progrès. »
Luc Mounier,coordinateurde la chairebien-être animalà Vetagro Sup.