Après l’Algérie lundi, c’était au tour de l’Égypte de passer un appel d’offres pour la fin de février ou le début de mars. « Ce qui sera déterminant, ce sera de voir quelles origines seront retenues, dans un contexte où les prix s’affichent dans un mouchoir de poche, entre les origines françaises, américaines et de la mer Noire », soulignait le cabinet Agritel dans une note.

Dans ce contexte, la parité euro/dollar aura plus que jamais un rôle à jouer : l’euro montait face au dollar, profitant de l’appétit pour le risque engendré par la poursuite des négociations entre les États-Unis et la Chine pour régler leur différend commercial.

En Algérie, l’appel d’offres lancé lundi a donné lieu à l’achat de 550 000 tonnes de blé meunier, selon le cabinet Inter-Courtage.

À la clôture sur Euronext, la tonne de blé perdait tout de même 75 centimes d’euro sur l’échéance de mars, à 205,25 euros, et 75 centimes également sur celle de mai, à 206,25.

La tonne de maïs, quant à elle, perdait 1 euro sur l’échéance de mars, à 181,75 euros, et 75 centimes sur celle de juin, à 185 euros.

Avec l’AFP