« Ce qu’on a demandé à la préfecture, c’est de mettre en place des moyens pour que les éleveurs puissent se défendre », a-t-elle poursuivi alors qu’une délégation a été reçue en préfecture.

Producteurs #ovins et #bovins du #gard se sont donnés rdv devant la #prefecture avec brebis et agneaux pour alerter et sensibiliser. Plus de 300 bêtes ont été tuées ou blessées par un #loup sur la zone Costières depuis 2017 selon les éleveurs. pic.twitter.com/FzMT8nXRh8

— viaOccitanieTV (@viaOccitanieTV) 6 décembre 2018 ]]>

« Ces moyens, on les a à travers ce qu’on appelle les arrêtés de défense sauf qu’il faut donner les moyens aux agents de louveterie de mettre ça en place », souligne Fanny Tamisier. « Ce n’est pas à nous de chasser le loup. Nous ne sommes pas chasseurs. Ce n’est pas notre boulot », ajoute-t-elle.

« On voudrait que la ’’brigade nationale loup’’ créée par Ségolène Royal descende dans le Gard dès janvier 2019, dès que le quota de loups est remis en place, pour éliminer le loup (des Costières) et qu’on puisse enfin travailler convenablement ».

La brigade nationale se déplace en fonction de « la pression au niveau de la prédation », rappelle encore l’éleveuse, qui la qualifie de « très forte » dans le Gard.

300 moutons sont devant la préfecture du #Gard pour dire stop aux attaques de loup ! Plus d'infos : https://t.co/NKZInaREh6 pic.twitter.com/IGDV3J8WnL

— Gazette Live Nîmes (@GazettedeNimes) 6 décembre 2018 ]]>

AFP