Ces associations sont minoritaires mais très efficaces dans les médias. Il existe pourtant des associations dites welfaristes qui elles proposent de revoir certains modes d’élevage sans aller vers sa suppression. Les professionnels de l’élevage ont entamé un dialogue avec elles pour prendre en compte les nouvelles attentes de la société.

Des scientifiques, au-delà des chiffres assénés par les abolitionnistes, analysent l’impact réel de l’élevage sur l’environnement et la biodiversité. Des sociologues se sont penchés sur les attentes réelles de la société au-delà de ces mouvements. La France agricole propose le vendredi 14 septembre à 10h30 à 12h00 à l’Espace Europe au Space, une table-ronde. Cette dernière réunira :

  • Marie-Gabrielle Miossec, auteure du hors-série de La France Agricole « Relation homme animal : réponses à ceux qui veulent abolir l’élevage » ;
  • Jean-Louis Peyraud, directeur de recherche, adjoint à l’agriculture à l’Inra. Il fera le point sur les idées reçues, les vérités et les contre-vérités qui polluent le débat sur la place de l’élevage dans nos territoires ;
  • Christine Roguet, économiste à l’Ifip, coordonnatrice du projet Accept autour de l’acceptabilité de l’élevage. Elle parlera de l’avenir de l’élevage et des pistes qui se dégagent à partir des conclusions dégagées de cette étude et de l’observation de ce qui se passe dans le nord de l’Europe.