Fabrice Berthon, commissaire général du Sommet, a rappelé quelques chiffres : 180 000 m2 d’exposition, pour accueillir les 1 500 exposants dont près de 300 étrangers, et les 95 000 visiteurs, dont 4 500 internationaux. Avec 2 000 animaux présentés, ce salon est désormais le deuxième rendez-vous de l’élevage en Europe, derrière l’exposition allemande Eurotier.
Le Sommet se veut un médiateur pour favoriser les échanges internationaux. En témoigne la mise à l’honneur de pays chaque année — l’Iran en 2017, la Turquie en 2018 — avec lesquels les filières animales françaises tentent de développer des partenariats (voir encadré).
La Salers en concours national
Cette année, c’est la Salers qui est mise en avant sur les affiches. Le concours national de cette race emblématique du Massif central se déroulera pendant cette édition, au cours duquel près de 400 animaux se confronteront. De plus, une confrontation européenne de la race simmental fera concourir 48 animaux venus de France, d’Allemagne, d’Autriche et de Suisse.