Ce rapport est destiné à évaluer l’application dans les États membres de la directive, qui « fixe des règles minimales relatives à la protection des poulets destinés à la production de viande » et « son influence sur le bien-être des poulets […], ainsi que l’élaboration d’indicateurs de bien-être », souligne un communiqué de Bruxelles.

« Une approche fondée sur les résultats »

« Il constitue également une des actions prévues dans la stratégie de l’Union européenne pour la protection et le bien-être des animaux au cours de la période 2012-2015 ». L’Union européenne fait la promotion d’une « approche fondée sur les résultats », rappelle la Commission.

Le rapport constate que « la directive est maintenant entièrement transposée dans tous les États membres ». Il souligne également que sa « mise en œuvre n’a pas entraîné de coûts significatifs [et qu’elle] a créé un cadre qui a permis aux États membres d’améliorer la gestion et les conditions de logement des poulets de chair, ce qui a eu des effets positifs sur la santé et le bien-être des volailles, même si « certaines améliorations peuvent encore être réalisées, par exemple une évaluation correcte des exigences techniques comme la ventilation ».

E.C.

(1) la directive 2007/43/CE1.