Les résultats de l’année 2015 publiés par la DGCCRF le 6 avril 2018 ont mis à jour 22 échantillons dont les étiquetages indiquaient « une teneur en additif coccidiostatique ou une garantie analytique erronée ». C’est dernière étaient soit trop forte soit trop faible.
Toujours dans la ligne des problèmes d’étiquetage, le document indique que 16 échantillons « contenaient une substance médicamenteuse dans l’aliment contrôlé. Elle n’apparaissait pas toujours sur l’étiquetage mais était présente à teneur élevée ». La DGCCRF précise que 8 avertissements ont été effectués faisant suite à ces contrôles.
Des différences entre l’étiquetage et le produit
Sur l’aspect additif, l’étiquetage est encore dans la ligne de mire de l’organisme de contrôle. « Les contrôles indiquent cette année encore des non-conformités des aliments au regard des garanties affichées sur l’étiquette. […] 19 avertissements ont été adressés à des professionnels et un procès-verbal a été rédigé pour un étiquetage présentant une caractéristique – bio – non justifiée », indique la DGCCRF.
Au-delà de l’étiquetage, deux avertissements ont été adressés pour des échantillons qui dépassaient le seuil maximal autorisé. Cependant la DGCCRF se félicite que ce type de non-conformité soit trois fois moins présent que l’année précédente.