«Cap’cuma », c’est son nom. Le principe en est simple : l’équipe gagnante est celle qui arrive le plus vite à la case arrivée, après avoir répondu à de nombreuses questions. Un jeu à mi-chemin entre le Jeu de l’oie et le Trivial Pursuit, adapté à l’univers des Cuma. Il comporte des cartes chance ou gage : « Vous avez participé à l’AG cette année », « Avancez d’une case », « Vous avez cassé du matériel, passez votre tour ».

« En 2018, nous cherchions des idées pour poursuivre nos actions de sensibilisation aux charges de mécanisation, qui ont beaucoup évolué avec la diversité des exploitations et des besoins, se remémore Étienne Fels, directeur de la FDCuma Normandie Ouest, fédération à l’initiative du projet. Aborder le sujet de manière ludique nous est apparu comme une bonne formule. »

Entraide et échange

Marque de fabrique des Cuma, le jeu se pratique en collectif, par groupes de deux équipes (ou plus) et un animateur. Public visé : les agriculteurs, en Cuma ou pas, mais également les jeunes en formation, les techniciens, les conseillers. La boîte comprend deux cents questions-réponses ayant trait à la réduction des charges de mécanisation, qui font aussi la part belle aux connaissances sur les Cuma grâce aux cartes « B.a.-ba des Cuma ».

« L’objectif est d’amener à réfléchir sur la délégation des travaux, les organisations qui facilitent le quotidien, sans oublier l’entraide, l’échange, explique le directeur. C’est aussi le moyen d’aborder les calculs de coûts de mécanisation, des coûts de chantiers et ceux de matériels, à partir d’un cas réel d’une exploitation laitière. L’animateur est là pour compléter les réponses des joueurs par des références et des explications. »

Le temps de jeu est modulable pour les plus pressés. Une autre façon de parler de la mécanisation ! I. Lejas

Contact : normandie-ouest@cuma.fr

200 € HT la boîte de jeu, 180 € HT l’unité à partir de 3 boîtes, 160 € HT à partir de 5 boîtes.