Selon Tallage, les orges ukrainiennes, qui ont déjà été exportées en très grosse quantité vers la Chine (plus de 1,3 million de tonnes en juillet-août), ont vu leur prix grimper. « Les chargements ukrainiens vers la Chine ont démarré en trombe : cela soutient les prix de la mer Noire mais vient peser sur les prix français », estime le cabinet.
Dans ses dernières estimations publiées le 3 septembre, la FAO (organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation) a révisé à la baisse sa prévision de production mondiale d’orge. Elle l’a réduite de 1,2 Mt, « sous l’effet du recul des perspectives de rendement dans l’Union européenne. Elles s’établissent à présent à 154,2 Mt. »