« Les marchés progressent à la faveur des craintes liées à la canicule qui s’est installée sur l’ensemble du continent européen », a souligné le cabinet Agritel. Aujourd’hui, il est cependant encore difficile de prévoir la conséquence des fortes températures sur les rendements. « La variable de taille sera notamment l’impact sur les cultures de blé de printemps en Russie, alors que les chantiers de récolte de blé d’hiver dans le sud du pays sont en cours », a poursuivi le cabinet.

Le blé est également soutenu par une parité euro-dollar favorable.