Aux États Unis, les semis ont été fortement gênés par de fortes précipitations (lire p. 4), faisant diminuer les surfaces implantées. La Bourse de Chicago a réagi à la hausse, entraînant par ricochet les maïs brésiliens, ukrainiens et européens, d’autant plus que les prévisions météo ne sont pas optimistes. La faible part des maïs levés aux Etats-Unis (46 % au 3 juin, contre une moyenne quinquennale de 84 %) interroge également les opérateurs. En revanche, les marchés physiques restent relativement stables actuellement. La récolte sud-américaine s’annonce, elle, sous de bons auspices.