En début de semaine, les cours du maïs à la Bourse de Chicago étaient au plus bas depuis septembre 2016. « En effet, la crise économique aux États-Unis s’accentue du fait de la progression de l’épidémie de coronavirus, informe l’AGPM, dans sa dernière lettre économique hebdomadaire. Par ailleurs, la situation de l’éthanol reste mauvaise. De plus, l’USDA a publié les intentions de semis des producteurs américains. Pour le maïs en 2020, celles-ci atteindraient 39,3 Mha, leur plus haut niveau depuis 2012, et un niveau supérieur aux attentes des opérateurs et aux projections, déjà élevées, de l’USDA en février. »
Les semis des maïs débutent en France, même si localement ils peuvent être ralentis du fait de températures trop froides ou, paradoxalement après cet hiver, d’un manque d’humidité.
Les prix sur le marché physique suivent aussi cette baisse.