Valorex vise la contractualisation de 15 000 hectares de féverole et de soja à l’horizon 2025, « pour servir son objectif de moindre dépendance protéique des élevages français. Cela représente environ 15 % de la production française actuelle de féverole, qui est de 79 000 hectares en 2020 », indique l’entreprise. Elle voit dans la hausse du prix des engrais et le manque de disponibilité de l’azote une « opportunité d’accélérer le développement des cultures de légumineuses », ces dernières ne nécessitant pas d’azote, et le restituant même en partie pour la culture suivante.

Valorex précise mettre en place des contrats à prix garanti, pouvant être pluriannuels, avec les organismes collecteurs et stockeurs.