En début de semaine sur Euronext, les prix du blé étaient affectés par la crainte d’un ralentissement économique chinois, lié à la propagation du coronavirus. « Le risque de baisse des importations chinoises est important », soulignait Agritel. Autre facteur baissier : les stocks de blé dans la fédération russe, qui s’affichaient au 1er janvier 2020 « sur un niveau de près de +10 % supérieur à la situation de l’an passé, rapportait le cabinet. Les larges disponibilités de blé d’ici à la fin de la saison représentent un frein substantiel à une nouvelle hausse des prix Fob russe au-dessus de ses niveaux actuels. »