L’activité est très calme. L’offre couvre largement les besoins. Les prix des parthenaises et blondes d’Aquitaine lourdes, ainsi que des charolaises, aubracs, salers, rouge des prés et limousines de qualité bouchère ne sont pas trop affectés par la réduction de la demande. Peu de changement également pour l’ensemble des vaches de second choix et bas de gamme.

En réformes laitières, les abatteurs ne manquent de rien. Les tarifs restent peu soutenus. La tendance est au maintien des prix des prim’holsteins, normandes et montbéliardes.

En jeunes bovins, l’activité export vers l’Italie ralentit, alors que l’offre reste assez importante, car certains éleveurs ont attendu pour sortir leurs animaux. Les transactions sont plus calmes, avec des tarifs plus discutés en fin de semaine.