La commercialisation est très calme, avec des tarifs qui peinent à se maintenir pour les parthenaises, blondes d’Aquitaine lourdes, limousines et charolaises U. Le commerce des allaitantes de choix secondaire est morose, avec des disponibilités abondantes. Le bétail léger manquant de finition trouve difficilement sa place. En réformes laitières, les abattoirs ont réduit leur activité, ce qui annihile l’effet du recul de l’offre. Les écarts de valorisation entre les abattoirs sont importants pour les bonnes vaches. La tendance est au maintien des prix mais le tri est toujours sévère parmi les animaux maigres et trop légers. En jeunes bovins, la demande italienne et grecque est moindre que les fêtes passées. Les tarifs sont faibles par rapport à 2017.