Entre 1982 et 2018, la France métropolitaine a perdu, en moyenne, 65 900 hectares de terres agricoles par an : 57 600 ha ont été artificialisés et 8 300 ha sont devenus des sols naturels – principalement de la forêt –, selon le rapport sur l’occupation du sol du ministère de l’Agriculture, publié le 14 avril.
En moins de quarante ans, quelque 2,4 millions d’hectares de surfaces agricoles ont disparu.