La Fédération nationale des éleveurs de chèvres évalue le surcoût lié à la crise des matières premières à 60 €/1 000 l. Une hausse qui « doit figurer dans les conditions générales de vente que les laiteries ont envoyé aux distributeurs » dans le cadre de la loi EGalim 2 », prévient le syndicat. À défaut, « cela entraînera une baisse de revenu pour les éleveurs. »