La tension monte entre irrigants et associations environnementales. Nature Environnement 17 et SOS Rivières ont choisi de ne pas participer à la dernière réunion de la cellule de vigilance. Les jours suivants, c’est le président de la fédération départementale de pêche qui a reproché au préfet son « manque d’anticipation ». Selon lui, les arrêtés de limitation de l’irrigation sont tombés trop tardivement et il déplore aujourd’hui 300 km d’assec sur les cours d’eau, un record dans le département.