Une quarantaine d’agriculteurs bio et en conversion sont venus s’informer, le 21 février à Chevannes (Essonne), sur l’introduction de légumes secs, légumes de conserve et légumes racines dans leurs rotations. Les productions de plein champ, malgré leur forte valeur ajoutée et une demande qui augmente chaque année, impliquent des coûts de production importants. « La contractualisation, même sur un an, est obligatoire », insiste la chambre régionale d’agriculture, organisatrice avec le Gab (groupement des agriculteurs bio) de ce forum. Les contraintes liées aux investissements, et notamment à l’irrigation, cristallisent les risques. Des acheteurs tels que Daucy, Rocal, Soufflet ou encore Coop bio Île-de-France pour la restauration collective étaient présents.