Les volumes de viandes ovines vendus en 2016 par la coopérative sont relativement stables par rapport à 2015. Le nombre d’animaux commercialisés sous la marque d’Anvial, qui se base sur le cahier des charges Bleu-Blanc-Cœur, a quasi doublé.

Créer une filière

Jean-Charles Dupont a présenté aux producteurs son travail de chevillard au sein de l’entreprise Elivia ainsi que les attentes de ses clients bouchers. L’exigence de régularité est la plus importante. Viennent ensuite l’état d’engraissement (3 ou 4 selon les régions), la régularité de la conformation et une viande de couleur très claire. Il a justifié la multiplicité des enlèvements d’animaux en élevage, qui garantissent un délai maximal de quatre jours entre abattage et livraison en point de vente.

Pierre-Luc Pavageau, président de la section ovine de Ter’élevage, a conclu sur l’ambition de concrétiser, en 2017, la création d’une filière de l’agneau sous la nouvelle marque de Terrena : La Nouvelle Agriculture.

Davantage de caprins

Le nombre de chevreaux et de chèvres de réforme commercialisés est passé de 65 000 en 2015, à 70 000 en 2016. La coopérative rappelle cependant que cette production valorise des « sous-produits » de l’activité laitière et est donc très dépendante de la conjoncture de cette filière.

V.S.