Depuis plus d’un an, l’équipe de l’AMTM, Association mondiale de tonte de moutons, défendait la candidature française. « Très vite, l’identité visuelle avait su séduire le public, détaille-t-elle dans son communiqué. En étant présente sur les plus grandes manifestations agricoles françaises, l’AMTM avait, d’emblée, tenu à prouver son engagement et sa mobilisation. »
Dépasser les frontières
Ces compétitions de tonte ne bénéficient pas en France de la même notoriété qu’au Royaume-Uni, en Australie ou en Nouvelle-Zélande. « En s’entourant de professionnels, il a rapidement été possible de dépasser les frontières limousines. L’impact de la communication a très favorablement influencé le Council, sensibles au véritable « capital sympathie » […] du grand public […] et des partenaires. »
Le projet a bénéficié de quelques soutiens de poids : celui du ministre de l’Agriculture, des Régions Nouvelle-Aquitaine et Bourgogne-Franche-Comté, de la commune du Dorat, de la présence de l’ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande. Après l’élaboration d’un budget primitif à la mi-2016, « tous les membres de l’association, convaincus de la viabilité de l’événement, ont poursuivi leurs démarches et ont déjà engrangé des promesses de don pour 2019 ! »