Le marché se concentrait sur les conditions météo hivernales qui règnent de la Russie aux États-Unis en passant par l’Europe occidentale, avec des chutes de neige considérées comme favorables pour compenser le déficit hydrique.
La chute des températures en France ne suscite aucune crainte pour l’état des cultures, souligne Agritel.
Vendredi, l’Égypte a acheté 180 000 tonnes de blé russe, à un prix légèrement supérieur à la dernière offre (+7,5 dollars la tonne selon Inter-Courtage). Agritel attribue cette hausse à une légère reprise des cours sur le marché intérieur russe.
L’Arabie Saoudite a acheté 739 000 tonnes de blé meunier à 12,5 % de protéines à 240,16 dollars la tonne, en provenance de l’Europe, de l’Amérique et de l’Australie. Selon Inter-Courtage, deux bateaux pourraient être français dans cet appel d’offres.
Lundi, le marché suit un appel d’offres de l’Irak pour 50 000 tonnes de blé meunier d’origine américaine, australienne ou canadienne.
À la clôture sur Euronext, la tonne de blé perdait 25 centimes d’euro sur l’échéance de mars à 157 € et stagnait à 159,75 € sur l’échéance de mai.
Le maïs perdait 25 centimes d’euros à 152 € la tonne pour l’échéance de mars, et stagnait pour l’échéance de juin à 158,25 €.