À la fermeture d’Euronext, à 14 h 00, le cours de la tonne de blé était stable sur l’échéance rapprochée de mars à 187,00 euros, et augmentait de 38 centimes sur celle de mai à 187,63 euros, dans un marché extrêmement calme, avec un peu plus de 5 800 lots échangés.

 

« En France, l’actualité reste dominée par les grèves et les difficultés liées au transport des marchandises, les camions ne pouvant se substituer que très partiellement aux trains, notait le cabinet Agritel. Si cette situation venait à perdurer, des défauts pour causes majeures pourraient être enregistrés. »

 

Parmi les facteurs de soutien des cours, une parité euro/dollar autour de 1,11 euro, « alors que les devises de l’Ukraine, la grivna, et de la Russie, le rouble, poursuivent leur progression », soulignait Agritel, pour qui cela permettait au blé français de gagner en compétitivité par rapport à ses principaux concurrents de la mer Noire.

 

La tonne de maïs, elle, progressait de 1,00 euro sur l’échéance rapprochée de janvier à 162,50 euros et de 2,00 euros sur le contrat de mars à 170,00 euros, pour environ 300 lots échangés.