Les ventes des concours sont souvent partielles, avec des tarifs d’entrée de gamme à peine supérieurs au prix du marché. De nombreuses femelles primées se sont vendues entre 5,00 et 7,50 €/kg.
La tendance est également tendue sur les marchés et pour les livraisons directes aux abattoirs, avec un problème de livraison des magasins ou des centrales d’achat. Les acheteurs ont peu de besoins et gèrent une offre qui se montre largement suffisante après trois semaines de ralentissement.
La tendance est pesante pour les blondes d’Aquitaine. Les tarifs des bonnes vaches lourdes sont compris entre 4,40 et 4,80 €/kg et atteignent difficilement 5 €/kg pour les supérieures. Les blondes plus communes se vendent entre 4,00 et 4,30 €/kg et celles de moindre conformation ou légères entre 3,50 et 3,90 €/kg.
Les transactions sont également très calmes pour les charolaises R= qui se négocient entre 3,50 et 3,60 €/kg, et dans les bonnes vaches U qui se vendent entre 3,65 et 3,90 €/kg.
L’offre de réformes laitières reste suffisante pour les besoins, mais les tarifs sont stables. Les prim’holsteins O se négocient entre 2,50 et 2,65 €/kg, en fonction des abattoirs. La majorité des vaches laitières sont de conformation P=2 ou 3 se négocient entre 2,35 et 2,45 €/kg, en fonction du poids. Les vaches en manque de finition ou de poids restent faiblement valorisées, entre 1,50 et 1,85 €/kg.