Sur les marchés, les bonnes vaches prim’holsteins P+/O– lourdes se valorisent de 2,75 à 2,80 €, voire 2,85 € dans le centre et le sud du pays. Les P= standards se négocient entre 2,50 et 2,65 €.
En ce qui concerne les normandes et montbéliardes O=, les cours se situent autour de 3,15 € et montent à 3,25 € pour les meilleures.
La demande reste mesurée en bonnes femelles allaitantes, mais la modestie de l’offre sur le Grand Ouest permet une légère reprise sur le marché de Cholet, notamment dans l’entrée de gamme. Les vaches charolaises U= se maintiennent autour de 3,80 €. Les R de plus de 400 kg oscillent entre 3,45 et 3,60 €, en fonction de l’âge, avec une moyenne proche de 3,50 €. Les animaux plus communs O se négocient sans difficulté entre 3,10 et 3,40 €.
La vente est calme pour les animaux de haut de gamme, avec les concours d’animaux de boucherie qui vont se dérouler sur les 15 prochains jours. La modestie de l’offre sur les marchés permet de maintenir les prix.
Les bonnes blondes d’Aquitaine lourdes se valorisent de 4,20 à 4,80 € et les U plus légères se vendent de 3,60 à 4,05 €.
En jeunes bovins, le commerce ne pâtit pas de la rupture des expéditions avec la pâque orthodoxe, car la production a fortement chuté. Les tarifs des charolais U se stabilisent entre 3,90 et 4,05 € à Cholet. La tendance reste ferme dans les laitiers, qui se négocient entre 3,25 et 3,35 €.