Vers 17h30, la tonne de blé était à l’équilibre sur décembre à 166,50 € et sur mars à 171,50 €.

 

Le blé français n’est « pas compétitif pour un iota par rapport aux Russes », soulignait un analyste, malgré la baisse persistante de l’euro face au dollar, permettant un peu de soutien aux blés européens et notamment français, en termes de compétitivité.

 

La chambre d’agriculture de l’Île-de-France s’est ému mercredi des niveaux de rémunération en vigueur. Par conséquent, la récolte de 2017 « ne permettra pas d’honorer l’ensemble des factures en souffrance », notamment « le paiement comptant des intrants de 2018, ni un rattrapage des reports d’emprunt réalisés l’an passé, sans parler de marge pour conforter les exploitations, par la constitution d’une épargne de précaution ou l’investissement ».

 

En Égypte, le cabinet Inter-Courtage soulignait « un peu de confusion » au sujet d’un bateau de blé roumain et toujours « pas de nouvelles du bateau de blé français ».

 

La tonne de maïs, quant à elle, perdait 0,25 € sur novembre à 156,25 € ainsi que sur janvier à 161,50 €.