Peu après 17 h, la tonne de colza regagnait 50 centimes, tant sur l’échéance de novembre à 367,25 euros, que sur celle de février à 369 euros.
Le faible niveau de transactions s’explique par un certain attentisme des opérateurs, lesquels guettent un rapport de Statcan qui doit publier jeudi des estimations de récolte pour le Canada, premier producteur de canola (colza OGM canadien) au monde.
Selon le cabinet Agritel, le colza demeurait également sous pression, dans l’attente de la décision de l’Europe sur sa politique de taxes à l’importation sur le biodiesel.
Sur le marché physique, les tourteaux de colza étaient orientés à la baisse.