Vers 17h00, la tonne de blé reculait de 25 centimes sur l’échéance rapprochée de septembre à 166,50 € et de 50 centimes sur celle de décembre à 170,75 €.

 

D’un point de vue climatique, les blés de printemps souffrent d’un excès d’humidité aux États-Unis, alors que c’est le déficit hydrique qui continue d’affecter le potentiel de rendements sur l’ouest de l’Europe, où des pluies orageuses étaient attendues en cette fin de semaine, notamment en France.

 

L’Égypte a acheté 60 000 tonnes de blé roumain et 120 000 tonnes de blé russe, confirmant ainsi le poids grandissant de ces deux acteurs sur la scène internationale, avec qui il va falloir encore compter pour la prochaine campagne, notait le cabinet Agritel.

 

La tonne de maïs, quant à elle, vivait ses derniers jours sur l’échéance rapprochée de juin, mais perdait 2,75 € à 159,50 €. L’échéance d’août perd 50 centimes, à 170,75 €.