Vers 17 h 35 sur Euronext, la tonne de blé était stable sur l’échéance de mars à 171 €/t, et gagnait 75 centimes sur celle de mai à 173,75 €/t dans un volume d’échanges de 27 600 lots.
« La faiblesse de l’euro nous soutient, c’est le seul élément de soutien », notait un analyste du cabinet Inter-Courtage, qui soulignait qu’il y avait « beaucoup d’appels d’offres pour du blé » même s’il n’y en avait « pas forcément beaucoup pour l’origine française ».
« En Europe le déficit hydrique constaté cet hiver demeure source d’inquiétude. Des pluies seront largement nécessaires dans les semaines à venir, lorsque les plantes auront repris leur développement végétatif », notait pour sa part le cabinet Agritel. Il soulignait aussi que les faibles précipitations engendrent également des difficultés de chargement sur le Rhin et le Danube en raison de basses eaux.
La tonne de maïs, elle, reprenait 75 centimes sur mars, à 172 €/t et 1,25 € sur juin à 174,50 €/t, dans un volume d’échanges de près de 630 lots.