« Des échantillons ont été prélevés le 30 novembre 2017 sur un porc mort qui présentait les signes de la maladie, et des échantillons sanguins ont été prélevés sur les porcs vivants », décrit l’Office international des épizooties. Les résultats des analyses ont été communiqués le 4 décembre, entraînant la destruction de tous les porcs, aussi bien morts que vivants.

Deux cas avaient précédemment été identifiés dans le pays, en septembre 2016 et mars 2017, selon la Plateforme d’épidémiosurveillance des maladies animales.

E.C.