Juillet dernier, marqué par une canicule « exceptionnelle », entre le 21 et le 26 du mois, a vu le mercure grimper à des températures historiquement élevées. À l’échelle nationale, elles ont été supérieures de 2,4 degrés par rapport à la moyenne annonce Météo-France. L’ensemble du mois a également été marqué par un ensoleillement excédentaire sur l’ensemble du pays, avec des cumuls mensuels de durée d’ensoleillement souvent records depuis 30 ans.

Anomalie par rapport à la normale (1991-2010) des cumuls de durée d’ensoleillement pour le mois de juillet 2019 en France métropolitaine. © Météo-France.

Le soleil brillait au nord-ouest

Les plages de Normandie n’ont rien à envier à celles de la côte aquitaine, « l’ensoleillement y a été au moins aussi bon : on a relevé 326 heures 41 minutes de soleil à Caen sur le mois (établissant un nouveau record mensuel) contre 318h43 à Bordeaux ou 317h20 à Biscarrosse. Sans atteindre de telles valeurs historiques, des cumuls de durée d’ensoleillement exceptionnels ont également été observés à Quimper (derrière 1990), Nantes (derrière 1971) et Paris-Montsouris, où avec 338h18, le cumul mensuel se situe juste derrière le mois de juillet 1959 ».

M.B.