Les représentants de la profession parlent d’un premier trimestre de 2016 où l’activité a été tirée par la loi Macron et d’un second semestre en net recul à cause des piètres récoltes et de la mauvaise orientation des prix.
Pour 2017, le syndicat table sur une légère reprise avec un marché prévisionnel à 5,2 milliards d’euros. Et cela, malgré des immatriculations de tracteurs et de machines de récolte en nette baisse au premier trimestre.
L’organisation professionnelle pense que le marché devrait être mieux orienté au second semestre et davantage porteur pour d’autres familles de machines. L’estimation reste malgré tout très dépendante des récoltes.