. Cette évolution résulte exclusivement de la dégradation de l’excédent des échanges avec l’Union européenne, de 46 millions d’euros sur un an. »

 

Des échanges de légumes et céréales dynamiques

Les exportations atteignent un montant de près de 1,5 milliard d’euros, progressant de 83 millions d’euros (+6 % par rapport à février 2018). « En particulier, les légumes voient la valeur de leurs exportations augmenter de 66 millions d’euros sur un an (+37 %), relève le ministère. Les ventes de pommes de terre apparaissent comme les principales contributrices à cette évolution : +46 millions sur un an. »

 

En février toujours, les exportations de céréales, principalement de blé tendre, sont restées dynamiques en valeur. Elles ont augmenté de 22 millions d’euros du fait de prix moyens à l’exportation en hausse. Quant aux importations, à 1,3 milliard d’euros, elles augmentent de 93 millions (+8 % par rapport à février 2018). Celles de céréales bondissent de 28 millions d’euros et concernent plus particulièrement le maïs à travers des achats à la Bulgarie.

Difficultés sur le marché communautaire

L’excédent commercial des produits transformés atteint 457 millions d’euros en février 2019, en retrait de 7 millions d’euros par rapport à février 2018. Sur un an, cette baisse concerne exclusivement les pays de l’Union européenne. La valeur des importations augmente de 124 millions d’euros sur un an (+4 %). Les achats de la majeure partie des produits transformés apparaissent en hausse, notamment les tourteaux, principalement ceux de soja.