« En 2015, nous avons noué un partenariat avec l’Union des coopératives rizicoles de Bama, qui rencontre des problèmes de gestion de l’eau, raconte Évelyne. Lors d’un voyage en France, les Burkinabés ont découvert une association syndicale autorisée, qui gère collectivement l’eau d’un canal, avec un aiguadier qui régit les tours d’eau de chacun. » Cette organisation les a intéressés. « Nous échangeons des savoir-faire, les aidons à se former ou s’équiper. Parfois, nous rencontrons des obstacles. Nous sommes ainsi sortis d’un partenariat où des conflits de pouvoir bloquaient tout. »