Cette sortie estivale offre un large choix de taureaux dans toutes les races.

Prim’holstein : de bonnes confirmations. La France garde la tête du classement international avec le jeune Louxor (pas encore disponible). À 235 points d’Isu, il ne perd que deux points par rapport à la sortie d’avril, restant loin devant le n° 2 français Ipnos. Vingt-six taureaux affichent plus de 200 points d’Isu, dont près d’un tiers de nouveaux. Notons la diversité des pedigrees. Parmi les confirmés, une bonne surprise : Firmin Pom gagne 9 points. Pour les autres, bon maintien en général.

Montbéliarde : une offre diversifiée . Avec 119 taureaux au-delà de 140 points d’Isu, les éleveurs auront le choix. Les taux de parenté à la population permettront de réaliser des accouplements maîtrisés sur la consanguinité. Quarante-deux jeunes taureaux génomiques font leur entrée dans le classement, avec un Isu moyen à 142,8. Parmi eux, 11 affichent un Isu supérieur à 150, dont 7 se dotent des trois index fonctionnels positifs. Le n° 1, Jordren JB, atteint 171 points d’Isu.

Normande : de gros progrès en morphologie. Une trentaine de nouveaux taureaux génomiques débarquent à un niveau moyen jamais égalé de 160 points d’Isu. Parmi eux, le nouveau leader, Los Angeles. Six sont très laitiers, avec souvent des taux favorables. Trois sont au-delà de +2 en morphologie, et la majorité dépasse +1, avec de gros progrès sur l’ensemble des postes : mamelle, membres, aplombs, mais aussi format et musculature. Certains cumulent l’ensemble des qualités, comme Lurfa. Les fonctionnels ne sont pas négligés pour autant, notamment la reproduction avec nombre de taureaux améliorateurs : le tiers est au-delà de +0,5 sur ce poste. Quelques nouveaux confirmés vont également être remis en marché après une première carrière génomique, à l’instar de Game over ou Genix Isy.